A quoi sert l’hiver si l’on n’y fait pas briller le soleil ?
Tous les ans, les Folles Nuits Berbères transportent le Cabaret Sauvage ailleurs dans l’espace et le temps : est-ce une boîte de nuit dans le Constantine de jadis, la place Jemâa el-Fna à Marrakech, un club des Champs-Elysées, la folie nocturne d’un armateur de Hong-Kong qui aurait vu trop de cabarets dans les films d’espionnage ?
En tout cas, c’est bien là, au bout du Parc de La Villette, tout près du canal et en contrebas du boulevard Macdonald, sous la toile et le bois blond du Cabaret Sauvage, avec la musique, les chansons, les jongleries, les prodiges, la danse… Une troupe éclectique et complice que Méziane Azaïche a rassemblée comme on rassemble une famille, avec les frères éparpillés dans le monde entier, les cousins qui n’ont pas le même accent, les amis aussi chers que des frères – ce sont des gens du cirque, de la musique, du music-hall.
Du 4 au 27 décembre, ils se mélangent, conversent et échangent autour de Malik Belili, chanteur et guitariste kabyle dont le groupe accompagne tous les artistes et numéros des Folles Nuits Berbères. Musique de la terre des Berbères, musique de ce carrefour de cultures qu’est l’Algérie urbaine, musique des fièvres et des fêtes parisiennes… Avec lui, la chanteuse Samira Brahmia, artiste typique des aller-retour de sa génération entre culture occidentale et culture maghrébine. Et une acrobate brésilienne qui monte vers le ciel du chapiteau, un jongleur au corps de lézard, des danseuses qui savent autant l’Orient de toujours que l’Occident du XXIe siècle… Et puis des cuisiniers pour que le soleil descende dans l’assiette des Folles Nuits Berbères.
Avec Samira Brahmia (chant, guitare), Malik Belili (chant, mandole), Mokrane Adlani (violon), Malik Kerrouche (guitare, bendir, flûte), Omar Chaoui (percussions), Xavier Padilla (basse), Hervé Le Bouché (batterie), Solange Lima (corde lisse, tissu aérien), Vincent Berhault (jonglage), Assia Guemra (chorégraphies et mise en espace des danses), Safia Boudrahem et Alizée Vallon (danseuses), Jalal Akalay (acrobatie), Duo Bellini (acrobatie, contorsion)
Pour fêter sa décennie, le Cabaret Sauvage a proposé du 17 au 31 octobre de redécouvrir des artistes qui lui sont chers. Entre chanson française, tempos balkaniques, cadences brésiliennes, rythmes d’Afrique, jazz, hip-hop ou musiques électroniques, il déploiera son éventail bigarré pour un anniversaire plus festif que jamais.
Avec RIO 50°- SomBrazuca, Lo’Jo+Rutabaga, Takfarinas + Malik Belili, Karpatt + Mell, Bratsch + O’Djila,Le Vrai-Faux Mariage de la Caravane Passe + DJ Tagada, les trois baudets hors les murs avec Jerrycan, David Lafore et les Sea Girls, Music by Generations part 2 avec Dj Premier, Blaq Poet, Dj Cam, Dj Noise et Dj Simsima, Soirée Métisse avec Orquestra do Fuba et La Contrabanda, The White Show – Carte Blanche à Brad Scott, Carte Blanche à Karim Ziad, Guem, Hilight Tribe, La Rue Ketanou, Tryo.
Au cœur de l’été parisien, le Cabaret Sauvage vous offre Le Monde à Vos Pieds…
Sillonnez, sans visa, les chemins colorés d’un voyage initiatique, où musiques traditionnelles et modernes seront vos guides lumineux. Lors de ce séjour, vous plongerez dans les eaux cristallines de Cuba et du Mexique, vous apprivoiserez la sensualité du Brésil et de la Colombie, vous pénètrerez sur les terres chargées de mystères de la Roumanie et de la Macédoine, vous vous laisserez envoûter par les effluves parfumés du Maghreb, vous réapprendrez à écouter la France d’aujourd’hui riche de toutes ces influences…
Au bout de ce parcours, parions que vous comprendrez davantage ce Monde qui vibre de toutes parts et qui ne cesse de se réinventer.
Au programme:
le 9 juillet: Enki Bilal et Goran Vejvoda présentent Cinémonstre + Dj Twelve (High Tone) + L’Oeuf Raide
Le 10 juillet: Sergent Garcia + Toubab All Stars
Le 11 juillet: Les Blérots de Ravel + Florent Vintrigner
Le 12 juillet: Ojos de Brujo + Sambuca + Faire le mur + Dj tagada
Le 15 juillet: Vanessa da Mata + Nancy Murillo
Le 16 juillet: Le vrai faux mariage de la Caravane Passe
Le 17 juillet: Nortec Collective: Bostisch et Fussible
Le 18 juillet: Band of Gnawa + Sam Karpienia
Le 19 juillet: Mon côté Punk + Kebous
Le 21 juillet: Fanfare Ciocarlia
Le 22 juillet: Manolito y su Trabuco + Elito Reve
Le 23 juillet: Kocani Orkestar + Emigrante
Le 26 juillet: Marcelo D2 + Dj Dolores
Et tous les soirs du festival, apéro-mix et grillades vous attendent sur la terrasse du Cabaret Sauvage au bord du canal de l’Ourcq …
Ça se passe quelque part entre Alger et Marrakech, Parc de la Villette, l’hiver parisien ne peut plus s’en passer, les publics les plus variés savent qu’on y respire la joie, la surprise … et la soupe à la coriandre !
Karim Ziad et Aziz Sahmaoui sont les « Maestro » de ces Folles Nuits Berbères. Ils y goupillent une formation à 7 à destination des doigts de pieds, leur articulation rythmique et leur assouplissement sensuel, et en avant la fantasia !
A leurs côtés, les B’net Houariyat, quatre femmes originaires de la région de Marrakech qui chantent et dansent sur des rythmes et des musiques traditionnels de leur tribu d’origine : l’Houara.
Il en arrive de partout : des acrobates marocains, des danseuses de toutes latitudes, une dresseuse d’assiettes à l’équilibre comme l’air, des mammas aux voix turquoises, une jongleuse qui fait tourner les têtes …
Il y a de la musique, on mange, on danse, c’est le souk !
La nuit, essayez-la folle et berbère et, si vous en revenez, vous y retournerez.
Mise en piste : Méziane Azaïche et Philippe Martz
Avec Karim Ziad, Aziz Sahmaoui, David Aubaile, Amar Chaoui, Abdenour Djemaï, Vincent Mascart, Hichem Takaoute (musiciens), les B’net Houariyat (chant, danse), Akalay Troupe avec Jalal Akalay, Issam Al Berkami, Hatim Al Berkami, Ahmed Berouho et Ali (acrobatie, pyramide humaine), Bérénice Lévy (jongleries et maladresses de haut vol), Duo San.Bodai (tissu aérien, assiettes chinoises) et Naïma (danseuse berbère).
Pour la 7ème édition de son festival d’été, le Cabaret Sauvage s’est associé à UWE et a proposé une programmation mariant l’électro au rock, au tango, au hip-hop, au jazz ou encore à la soul…
3 juillet : Herman Düne, Sébastien Tellier, Das Pop
4 juillet : Birdy Nam Nam meets Bumcello, Chin Chin,
BNN Sound System
5 juillet : Kitsuné Night avec The Cazals, Punks Jump Up, Hot Chip, Gildas & Masaya
6 juillet : Francesco Tristano – Gotan Project
7 juillet : Cirkus, Anthony Joseph & The Spasm Band,
Soul Jazz Records Sound System
12 juillet : New Young Pony Club, The Teenagers,
The Glimmers, Prinzhorn Dance School
13 juillet : Dj Hype & MC Daddy Earl, Elisa Do Brasil V/S Rom 1, TC, Mark One, MC General Levy
Ça se passe quelque part entre Alger et Marrakech, Parc de la Villette, l’hiver parisien ne peut plus s’en passer, les publics les plus variés savent qu’on y respire la joie, la surprise … et la soupe à la coriandre ! Ça s’appelle « Les Folles nuits berbères » et c’est au Cabaret Sauvage en octobre et novembre !
Il en arrive de partout : danseuses de toutes latitudes, trapézistes aux loopings chaloupés, jongleur, contorsionniste, dresseuse de cerceaux… pimenteront ces soirées.
Karim Ziad, Hassane Idbassaid et Abdenour Djemaï sont les « Maestro » de ces Folles Nuits Berbères.
Il y a de la musique, on mange, on danse, c’est le souk.
La nuit, essayez-la folle et berbère et, si vous en revenez, vous y retournerez.
Les musiciens : Karim Ziad, Abdenour Djemaï , Hassane Idbassaid, David Aubaile, Vincent Mascart, Mohamed Menni, Rabah Sifouane, Hichem Takaoute.
et Alex Saintin (jonglage), Maria Angeles (dresseuse de cerceaux et corde lisse), les Kriskats (duo trapèze, tissu), Lina (danseuse orientale).
Vladjalo, se passe dans un bistrot, comme il pourrait en exister dans tous les recoins du monde. Au milieu de la salle, la table ronde devient quelques instants, la petite piste d’un cirque idéal dont le bar est la barrière. Le passage des habitués et des clients occasionnels rythme cette journée particulière, mais pas exceptionnelle, nous entraînant dans un univers surréaliste, burlesque et poétique. Ici vivent et se côtoient des personnages dont les comportements oscillent et même basculent dans l’absurde. Dans ce spectacle en forme de collage dadaïste, où textes, sons et musiques se donnent la réplique, la patronne, sorte de “madame loyale” mène la danse. Sous son regard bienveillant se mêlent et se succèdent : son fils, personnage-volatile en quête de liberté, une habituée suspendue au comptoir autant qu’à sa corde, un pilier de bar habitant du zinc, un représentant de commerce qui court après ses valises et un vieil habitué, un doux-dingue, une mère exténuée, un serveur musicien… Chacun déroule le fil de son histoire.
conception et mise en scène : Pierre-Maurice Nouvel
avec Valérie Garçon (équilibres), Céline Berneron (corde lisse)
Eric Muller (clown, jongleur), Tibo Schoirfer (jonglerie), Ignacio Herrero-López (fil souple), Grégoire Barbedor (comédien),
Erik Jankowsky (basse, contrebasse et trombone), Livi Loricourt (piano, chant), Jérôme Bossard (batterie, percussions)
Du rock n’ blues d’Orly Chap’ au nouveau son brésilien de Cibelle, des chansons pop d’Holden au bal électro des Ginettes, des mélopées tziganes de Mitsou au chant berbère de Cherifa en passant par les voix de divas d’Afrique de l’Ouest …
13 juillet : Le Bal des Ginettes avec Le Maximum Kouette et Le Bal des Martine
14 juillet : Voix de femmes d’Afrique avec Diaou Kouyaté et Oumou Kouyaté
15 juillet : Hommage à Oum Kalsoum
19 juillet : Cibelle, Zsuzsanna
20 juillet : Mitsou, Norig
21 juillet : Holden, Mig
22 juillet : Martha High
23 juillet : Claire Diterzi, Orly Chap’
26 juillet : Cherifa
27 juillet : Maya Barsony, Emigrante, Princess K’Shu
Plus qu’une succession de performances rythmiques et visuelles, AY ! est une histoire de rencontres…
Celle du flamenco, de la musique électro et des percussions, de la tradition et de la modernité, de la sensualité et de l’énergie quasi animale exprimées par Ana Yerno.
Ana Yerno est une artiste hors normes : danseuse et percussionniste indomptable, elle danse et joue de son corps comme d’un instrument unique qui lui permet de créer sa propre identité sonore et ses rythmes. Sa danse est fière et altière.
Avec « AY ! », Ana crée la «Drumming Dance », une danse percussive et sensuelle mise en valeur par le mariage d’instruments traditionnels (castagnettes, tambours, bolas…) et ultra modernes (samplers, loops, machine MPC, …). La musique originale du spectacle est née de sa rencontre avec le compositeur Balat, leader du groupe No Jazz.
AY! est une création qui réunit 3 danseurs et 2 musiciens dans un show mis en scène par Néry (ex Nonnes Troppo et VRP).
Avec « AY ! » Ana Yerno fait se rencontrer tous les publics en amenant la danse dans les salles de concerts et le concert dans les salles de danse.
Loin de la Carmen romantique de Bizet, l’héroïne de l’opéra de Goran Bregovic est une gitane des Balkans prostituée et leurrée dans le Grand Monde Multicolore par un mafieux roumain.
Amoureuse d’un grand trompettiste gitan, Karmen rêve… d’une Fin Heureuse !
Le spectacle commence par un récit joué comme une pièce de théâtre, avec pour seul décor une chaise et un couvre-lit. Par la nature même de l’histoire, la pièce de théâtre se transforme en opéra. La musique de Bregovic est inédite.
Elle s’inspire de la musique tzigane telle qu’elle est jouée aujourd’hui en Europe. Les acteurs/chanteurs interprètent plusieurs rôles dans les deux parties du spectacle et jouent en italien, en serbe, en tzigane et parfois en français. Le spectacle est entièrement surtitré.
Une histoire pleine de musique, de rythme et de tradition jouée par Goran Bregovic et l’Orchestre des Mariages et des Enterrements, où s’expriment l’amour, les trahisons, les conflits pour finir dans l’allégresse d’un banquet nuptial.
Cette année encore, le Cabaret Sauvage fête le ramadan et met le Maghreb et l’Orient à l’honneur. Avec des spectacles de danse orientale les jeudis et des concerts de raï, de musique marocaine, de chaâbi les vendredis et samedis.
jeudi 13 octobre
Danse orientale avec Amelia Zidane
vendredi 14 octobre
Karim Ziad / Ifrikya et Thalweg
jeudi 20 octobre
Danse orientale avec Samar et sa troupe
vendredi 21 octobre
Najat Aatabou
samedi 22 octobre
Jil Jilala
jeudi 27 octobre
Danse orientale avec Fanyda et la Compagnie Shehrazad
vendredi 28 octobre
Stati, Hanino et Youmni Rabii
samedi 29 octobre
Reda Taliani et Fadela
Le Cabaret Sauvage se met aux couleurs latines et fête l’été caliente.
Ils viennent de Colombie, d’Espagne, de Cuba et même du Japon.
Salsa , mambo, merengue, samba-reggae ou bossa jazzy, du 21 au 30 juillet le Cabaret Sauvage vous en fait voir de toutes les couleurs.
21 juillet : Wagner Pâ (Brésil/Espagne) et Dj Panko (Espagne)
22 juillet : La Banda de Santiago de Cuba invite
Ernesto « Tito » Puentes (Cuba)
+ soirée dj’s
23 juillet : Toto La Momposina (Colombie)
Nancy Murillo y su Combo (Colombie)
+ DJ Natalia La Tropikal’ (Espagne)
24 juillet : Oscar D’Leon (Venezuela)
27 juillet : Los Van Van (Cuba)
28 juillet : Son Reinas (Japon)
29 juillet : Orquesta de la Luz (Japon)
+ DJ Natalia La Tropikal’
+ DJ Manu Boubli (France)
30 juillet : Raul Paz (Cuba) + soirée dj’s
Copacabaret, rien que l’intitulé affiche l’évidence : trois semaines durant, la scène du Cabaret Sauvage va se transformer en bar de Copacabana, là où a éclos la bossa nova. Plus qu’un concert, voici un beau voyage…
On y contera la saga unique de cette caresse faite musique des années 60 à nos jours, on y sentira les humeurs et parfums de Rio l’enjôleuse.
Pour dérouler le fil musical dans ce bar, « direto do Brasil », le groupe et collectif BossaCucaNova, composé d’Alexandre Moreira, Mario Menescal et Dj Marcelinho Da Lua, plus trois musiciens et une chanteuse. Déjà trois disques à leur actif, sur le label Ziriguiboom /Crammed.
Pendant les deux heures de spectacle, ils égrèneront les tubes piochés dans l’immense patrimoine de la bossa et de son aînée percussive la samba, avec ingrédients subtilement électroniques et inviteront pour l’occasion le guitariste Roberto Menescal, pionnier de la scène bossa dès ses premiers frémissements et la chanteuse Mariana de Moraes, une des divas brésiliennes des plus remarquables.
Copacabaret, trois semaines de douce chaleur à l’orée de l’été, avec plage au bord du canal et plats brésiliens, avec DJ 100% Brasil pour pousser la nuit.
Onze soirées au son du chaâbi, du raï, de l’alaoui, de la musique gnawa…
Avec Nadia Benyoucef et Hamidou, Super Raï Band, Youmni Rabii, Zahra et Hassan Idbassaïd, Faiz Ali Faiz (qawwali), Kamel Igman, Farid Gaya et Massa Bouchafa, Larbi Dida, Karim Ziad, Akli D, Saïd Mesnaoui et Transe Gnawa et New Bled Sound System, Les Folles Nuits Berbères, la Méga Raï Party.
Un mois pour fêter la musique tzigane dans toute sa diversité au son des musiques d’Europe Centrale, de la rumba catalane, du swing manouche.
Avec Lemmy Constantine (Slave), David Reinhardt et Richard Romanetti (France), Ninine Garcia Trio (France), Electric Gypsyland (Allemagne/Roumanie), Mahala Raï Banda (Roumanie), Carte blanche à Rémy Kolpa Kopoul (Radio Nova) avec Earth Wheel Sky Band (Serbie) et Loulou Djine (Europe Centrale), Taraf de Haïdouks (Roumanie), Zaragraf (France), Nuit de la rumba avec Casta Cali (France), Sabor de Gracia (Catalogne) et Dj Claudio (France), O’Djila (France, ex-Yougoslavie), Urs Karpatz (France), Fanfare Ciocarlia (Roumanie), Femmes Tziganes avec Rona Hartner (Roumanie), Norig (France), Erika (Hongrie), Tchanelas (France) et Boum Ba Clash, Fanfare Panika (France), Radio Tarifa (Espagne), DJ Max Reinhardt (Angleterre), Koçani Orkestar (Macédoine) , Taraf Borzo (France), Besh o drom (Hongrie), Le Taraf Dékalé (France), Thierry « Titi » Robin (France), Goran Bregovic et l’Orchestre des Mariages et des Enterrements (Balkans)
Ça se passe quelque part entre Alger et Marrakech, Parc de la Villette, l’hiver parisien ne peut plus s’en passer. Les publics les plus variés savent qu’on y respire la joie, la surprise … et la soupe à la coriandre !
Karim Ziad, directeur musical du Festival d’Essaouira, devient Maestro de ces Folles Nuits Berbères. Il y goupille une formation à 7 à destination des doigts de pieds, leur articulation rythmique et leur assouplissement sensuel, et en avant la fantasia ! Il en arrive de partout : des acrobates marocains, des danseuses de toutes latitudes, des trapézistes aux loopings chaloupés…
conception : Méziane Azaïche
mise en piste : Méziane Azaïche et Philippe Martz
avec Karim Ziad, Michel Alibo, David Aubaile, Alain Debiossat, Abdenour Djemaï, Vincent Mascart, Mohamed Menni, Aziz Sahmaoui, Hichem Takaoute (musiciens), Angelina (clown-trapéziste), Jalal et l’Akalay Troupe (acrobates), Jane Allan (trapéziste), Marin (sangles aériennes), Lucia Nocentini (danse, violon).
Le Cabaret Sauvage a fêté la musique tzigane avec des soirées chaleureuses et festives pour danser au son du swing manouche, du flamenco, de la rumba, des musiques d’Europe Centrale…avec un petit détour par Cuba.
Avec Kek Lang, Tchavolo Schmitt Quartet, Les Gitans de Marseille par Juan Carlos Principal, Koçani Orkestar, Bratsch, Femmes tziganes autour de Kostovitza avec Erika, Norig, Helena Maniakis et Rona Hartner, La Banda Municipale de Santiago de Cuba, Tekameli, Els Rumberos Catalans de Sant Jaume, Kaloome, Taraf de Haïdouks.
Etre femme et artiste en Algérie, c’est déjà un défi en soi. Du 8 au 16 mars, une quarantaine d’artistes, pour la plupart venues spécialement d’Algérie, étaient présentes à ce deuxième rendez-vous consacré aux artistes algériennes.
Avec Cherifa, Djura, Keltoum el Aurassia, Assia, Souâd Belhaddad
Naïma Ababssa, Mamia Chérif, Aïcha Lebgâa, Méditerranéo,
Rainess, Mériem Hafiz, Watchaclan, Zora, Israhn, Faraka, Hayat Ayad, Moon Light Girls, Same, Houria Aichi, Fatiha Nesrine, Fkirate de Souk Ahras, Nadia Tachaouit, Messaoûda Daho…
La formule avait conquis le public en 2001 : les Folles Nuits Berbères, rencontres délibérément iconoclastes du cabaret, de l’Orient et du pili-pili, ont donc re-scintillé dans l’hiver parisien 2002 !
La musique ? Cette année, c’est Nasredine Dalil, l’un des réalisateurs-arrangeurs de l’album Mozart l’Egyptien, qui tient la baguette. Forcément, musiques traditionnelles, gnawa et fantasia se croisent.
Captivés par les chants et les danses des femmes berbères, émerveillés par les prouesses des acrobates, éblouis par le trapèze, il y a de la musique, on mange, on danse, c’est le souk !
concepteur : Méziane Azaïche
mise en piste : Luc Richard
avec Nasredine Dalil, Abdenour Djémaï, Hichem Takaoute, David Aubaile, Michel Petry, Rabah Sifouane (musiciens), B’net Houariyat (musiciennes), BP Zoom (clowns), Pascal Rousseau (équilibre), Jallal Akalay (sangles aériennes), Vanessa Ricolleau (tissu aérien), Sophie Mandoux (trapèze), Safia (danseuse)
Deux semaines de musique festive et colorée pour découvrir des fanfares des quatre coins du monde, guincher, boire un verre ou manger en terrasse. Et chaque soir, avant les concerts, escale poétique sous la tente installée dans le hall d’accueil pour l’exposition de peintures d’Annick Lebédyk. Avec Uranus Bruyant, Les Pépitas, Les Voisins du Dessus, Yelemba,
Pistons Flingueurs, El Zef, freeBidou, Les Chevals – Brass Bande à la Conque,
Les Acousmates, Life is not a picnic, Torpédo Deluxe, Les Fils de Teuhpu,
l’Occidentale de Fanfare, Slonovski Bal.
Les Folles nuits berbères, c’est la rencontre et le mélange, improvisé et détonnant, de la musique et du cirque. Aux Folles nuits berbères du Cabaret Sauvage, vous rencontrez une trapéziste, un jongleur, un magicien, une danseuse, une chanteuse…
Vous êtes accompagnés tout au long de la soirée par les musiques épicées de Zalamite et Cheikh Sidi Bémol, avec Charlotte etc (chanteuse), Jane Allan (trapéziste), Vincent Berhault (jongleur), Alain de Moyencourt (magicien), Les Nimbles (numéro de main à main), Lucia Nocentini (danseuse orientale, violoniste), Ana Yerno (danseuse flamenco) …
En proposant une série de onze soirées de » cabaret cirque » musical tournées vers la création contemporaine, Scènes de Cirque avoue son penchant pour les petites formes, celles qui osent, expérimentent, font le pari de l’impromptu, de l’imprévu et des surprises. Les acrobates, jongleurs, clowns et aériens se succèdent et se répondent dans une ambiance de jazz oriental.
5 musiciens en « direct direct », 13 interprètes en folie douce, 2 histoires dont une d’amour, 50 numéros dont 3 franchement drôles et 4 dangereux (en l’air), 1’esprit de troupe pour …
… un cabaret où les personnages ont un double jeu : employés de théâtre et artistes internationaux à l’imagination sans frontière et aux talents multiples et bigarrés.
Créé en 1982 au Théâtre des Bouffes du Nord, Crime Passionnel est » un opéra pour un homme seul « , écrit et composé par Astor Piazzola et Pierre Philippe pour Jean Guidoni. Vingt ans après, huit ans après la mort d’Astor Piazzola, Crime Passionnel a retrouvé une nouvelle virginité. Leonardo Sanchez, jeune musicien argentin vivant en France, compositeur et guitariste virtuose, a écrit les nouveaux arrangements, introduisant un bandonéon pour donner toute son ampleur au tango argentin.
10 soirées qui se sont d’abord déroulées en terrasse avec Accordéon 2000 pour se terminer dans le Cabaret sur des musiques fortement colorées.
Avec Roberto de Brasov, Gnawa Diffusion, FreeBidou, Riccardo Tesi, Svahn !, Seba, Taÿfa, Boum, Jean-Christophe Mailard, Le Grand Orchestre de Chacal Bar, Bratsch, Trio Scotch Jacques Daniel, Amadou et Mariam, Casablanca, Duo Laudat/Dubanton, K2R Riddim, Zenzila et Digital Bled.
Après le cirque et la musique, ce lieu métissé s’ouvre à la danse, sans rien perdre de son identité.
Karine Saporta aime les cirques, la piste, le travail sur le cercle, aussi a-t-elle répondu avec enthousiasme à la proposition du Cabaret Sauvage de créer un nouveau spectacle.
Pour Karine Saporta, la danse doit aller à la rencontre d’un public qui ne la connaît pas. Ce sera « Cabaret Latin », tangos, mambos, cha cha cha…
Méziane Azaïche et l’équipe du Cabaret Sauvage choisissent de commencer l’année avec un hommage aux femmes algériennes, à leur courage et à leur talent.
Ils accueilleront des chanteuses, des danseuses, des comédiennes…
Avec Katy Grandi et Isabelle Krauss » Alger ma blanche « , Chorale Arc en Ciel, Markunda Aurès, Les Reuse. T, Djamila, Journal d’une femme insomniaque par Sonia, Compagnie Nedjma, Cherifa, Samia et Hakima, Djazzira, Compagnie l’Amour Fou, Nadia Benyoucef, Zakia Belouti, Zahida, Karima, Nadia Tachaouit, Mounira, Naïma Ababsa, Kassia, Assia, Selma, Fadela Sahraoui, High-fen et Hip Hop Attitude, Malika Domrane, Assia Guemra, Fettouma Ousliha, Malyka, Medahates, Hasna el Becharia. Ce sera également l’occasion de voir pour la première fois sur scène la prometteuse Souad Massi.
Voici la caravane des artistes musiciens, plasticiens, danseurs, comédiens de l’Oztheaterland et Mônica Passos, diva aux multiples visages : » Les chiens aboient, on le sait, on les connaît. Ceux du dehors, sur nos écrans démultipliés qui suintent le malheur, le mépris et la haine.
Ceux du dedans, nos peurs, les teigneuses, les revêches, celles qui freinent, celles qui empêchent. Mais la caravane passe, portée par la voix de Mônica, guidée par les danses des sorciers d’Oz…Une force d’amour qui partirait pourfendre les démons de notre époque. »
Avec la complicité de Michel Hermann et Dominique Bourquin pour la mise en scène et de Jean-Jacques Lemêtre pour la musique, Méziane Azaïche a fait se rencontrer des artistes venus de différents horizons, jongleur, comédien, trapéziste, clown, musicien, danseur… pour un spectacle de cabaret généreux, maladroit, beau, dérangeant, naïf, rigolo et tendre.
Avec Jordi Aspas et Bet Miralta (clowns et comédiens catalans), Elisabeth Dorge (clown et comédienne française), Stefano Fogher (musicien et comédien italien), Iris (danseur et jongleur basque espagnol), Issa Hassan (musicien, chanteur et danseur kurde), Fara Kadri (danseuse et chanteuse), Lisette Malidor (chanteuse et comédienne martiniquaise), Kathrin Mlynek et Christine Ritter (acrobates aériennes allemandes), Zaza (clown, musicien et comédien français), Attila Zombori (percussionniste et comédien hongrois).
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