
Cate Le Bon, architecte du son, façonne des paysages musicaux faits de textures étranges, de tonalités filtrées et de structures sculpturales, toujours guidée par une sensibilité subtile et intuitive.
Avec six albums à son actif — dont Reward (nommé au Mercury Prize) et Pompeii, salué par la critique — elle a imposé une voix singulière, entre surréalisme et introspection. Aujourd’hui, elle évolue entre solitude créative et collaborations fidèles, notamment avec le coproducteur Samur Khouja et le saxophoniste Euan Hinshelwood.
Son septième album, Michelangelo Dying, poursuit cette quête introspective. Composé de chansons lumineuses et vulnérables, il explore l’amour, le deuil et l’identité à travers une palette faite de guitares, de synthés et de saxophones. Une œuvre sensible et généreuse, où l’abstraction se mêle à l’intime, , à découvrir le 16 novembre sur la scène du Cabaret sauvage !