Au programme de ce mini festival immanquable :

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• Les Flamin’ Groovies ont préservé à San Francisco dans les années 60 l’esprit du rock n roll alors que tous les groupes passaient du psychédelique au flower-power. Au tout début des années 70, Mick Jagger qualifiera, dans une interview en 1971, Flamingo comme « le meilleur album des Rolling Stones de l’année ». Un peu plus tard, signés sur Skydog, ils se produiront à l’Olympia de Paris …Depuis 2010, après un long break, ils enchaînent les tournées à succès, débarrassés de toutes autres envies que de faire partager leur vision intemporelle d’une musique toujours actuelle, qu’ils ont créee il y a un peu plus de cinquante ans. Avec une collection de tubes imparables: « Teenage Heads », « Slow Death » , « Shake Some Action ».

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• Les Morlocks, groupe garage séminal des années 80, emmenés par Leighton Koizumi, l’un des chanteurs les plus marquants de sa génération. Pour leur dernier concert parisien, les Morlocks avaient fait sonner juste et fort le Gibus, un peu avant la pandémie; les 200 personnes présentes s’en souviennent ; les disques de grande qualité s’enchaînent depuis une dizaine d’années.

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• 9 Pound Hammer est l’autre groupe – le premier aussi - du chanteur des Nashville Pussy, Blaine Cartwright. Il y officie comme guitariste. Le groupe n’est pas venu en France depuis des lustres ; leur dernier passage en Europe remonte à 2017, lors du festival Sjock, où le public avait été impressionné par leur déflagration country-punk survitaminée, un cocktail musical détonant mis au point du temps de Crypt Records.