Festival

Pongo

09.07.23

kuduro, pop

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Date :
7/10/2023
Ouverture des portes :
19h
Tarifs :
Préventes : Regular : 28e (hors frais de location)
Points de vente :
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Depuis plus de 20 ans, le Festival d’été du Cabaret Sauvage laisse entrer le soleil sous le chapiteau le plus culte de Paris !
Avec une programmation choisie rien que pour vous, venez danser et vibrer aux rythmes des musiques actuelles du monde.
Salif Keita, Amadou & Mariam, Tryo, Gnawa Diffusion ou encore Bonga et Pongo : dès la fin du mois de juin, le Cabaret Sauvage vous invite à parcourir le globe sans quitter Paris.

Si elle a vite été érigée en icône du kuduro, ce n'est pas une surprise : année après année, Pongo s'est fait une mission de dépoussiérer le genre avec des sons venus du monde entier. Née en Angola en 1992, elle s'est tout d'abord passionnée pour la danse, et a grandi au milieu d'une profusion de musique traditionnelle angolaise et de rythmes caribéens ou grésiliens. Une bande-son sans pareille pour ses jeunes années !
A ses 8 ans, elle doit fuir pour la Portugal avec sa famille à cause de la guerre civile qui fait rage en Angola.
C'est à partir de ce moment qu'elle porte l'amour du kuduro à un autre niveau.

Pongo passe son adolescence avec le Denon Squad, un groupe local qui l'a recrutée comme danseuse avant de lui laisser le micro. C'est à l'occasion de ces concerts dans le quartier qu'elle attrape le virus de la scène et décide de continuer à partager ses émotions en chantant.
Après s'être fait un nom sur la scène kuduro de Lisbonne, , elle est repérée par Buraka Som Sistema.
Après plusieurs concerts ensemble, ils sortent le tube mondial "Kalemba (Wegue Wegue)" !

Ce morceau écouté des milliers de fois à travers le monde pose les fondations de la musique de Pongo : tiré de ses souvenirs d'enfance, sa musique semble intime et universelle à la fois, elle invite son public à danser et se libérer de ses angoisses. Le même message transparaît dans son premier single "Tambulaya" (2018), dont le clip rend hommage au mouvement des Black Panthers et raconte le besoin de la chanteuse de transformer des souvenirs douloureux en musique solaire et positive.

En liant le kuduro et l'afrobeat, le funk des favelas et l'afropunk, elle soutient le mélange des genres et des langues : une façon de faire tomber les barrières culturelles et de donner le ton de son prochain projet : Sakidila.



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